Il y a quelques jours, à Portland aux USA, Dilgo Khyentsé Yangsi Rinpotché, un lama tibétain de 17 ans, que j’accompagne dans ses voyages, a remis à la mer plus d’un milliers de homards destinés à être ébouillantés vifs et
Archive du blog pour avril 2013
Vers un Bouddhisme socialement engagé
Le 9 août dernier j’ai eu l’occasion de participer au premier ‟symposium du bouddhisme socialement engagé” organisé à l’initiative de Bernie Glassman, et d’y présenter certaines de mes réflexions sur la compassion en action. Bernie est un homme extraordinairement chaleureux
L’interdiction de la corrida, un pas vers la civilisation
En votant pour l’interdiction des corridas, les parlementaires catalans ont déclenché un débat d’ampleur nationale en Espagne. Les défenseurs de la corrida cherchent à faire valoir deux arguments : la tauromachie est une tradition culturelle, elle serait en outre un
Liberté intérieure – 2
« Notre liberté intérieure ne connaît pas d’autres limites que celles que nous nous imposons ou celles dont nous acceptons qu’elles nous soient imposées. Et cette liberté aussi procure un grand pouvoir : elle peut transformer l’individu, lui permettre d’épanouir
Liberté intérieure – 1
Être libre, c’est être maître de soi-même. Pour beaucoup de gens, une telle maîtrise concerne la liberté d’action, de mouvement et d’opinion, l’occasion de réaliser les buts qu’on s’est fixés. Ce faisant, on situe principalement la liberté à l’extérieur de
Quelques images récentes du TIbet oriental-4
Canon Mark III Ds, 100-400mmCanon Mark III Ds, 100-400mmCanon Mark III Ds, 100-400mm
Quelques images récentes du TIbet oriental-3
Canon Mark III Ds, 100-400mmCanon Mark III Ds, 100-400mmCanon Mark III Ds, 24-70mm
Quelques images récentes du TIbet oriental-1
Canon Mark III Ds, 100-400mmCanon Mark III Ds, 12-24mm (Sigma)Canon Mark III Ds, 24-70mm
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Canon Mark III Ds, 24-70mmCanon Mark III Ds, 100-400mmCanon Mark III Ds, 24-70mm
Sur le goût de la nouveauté
Avoir toujours soif de nouveauté conduit souvent à se priver des vérités les plus essentielles. L’antidote de la souffrance, de l’attachement au moi, consiste à aller à la source des pensées et à reconnaître la nature ultime de notre esprit.